- EAN13
- 9782330023836
- ISBN
- 978-2-330-02383-6
- Éditeur
- Actes Sud
- Date de publication
- 28/09/2013
- Collection
- CHEVAUX ET CAVA
- Nombre de pages
- 384
- Dimensions
- 24 x 14,6 x 3,8 cm
- Poids
- 772 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 798.23
- Fiches UNIMARC
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French Equitation
Henry L. de Bussigny, un bauchériste en Amérique (1922)
Traduit par Frédéric Magnin
Actes Sud
Chevaux Et Cava
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29.00
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«French Equitation» est la traduction française d'un traité d'équitation écrit en anglais à Boston dans les années 20 par un ancien officier de cavalerie, Henry L. de Bussigny, passé par Saint-Cyr et Saumur, qui se dit élève du comte d'Aure, de Baucher, de Raabe, et admirateur de Fillis.
Le lieutenant de Bussigny est de toutes les campagnes mais il part pour les États-Unis après la guerre de 1870. À New York, il fonde la «Central Park Riding School». Il s'installera en 1878 à Boston où, sa réputation l'ayant précédé, les familles les plus en vue de la ville lui fourniront plusieurs générations d'élèves jusqu'en 1918. Au nombre des élèves les plus prestigieux il faut compter Theodore Roosevelt lorsqu'il étudiait à Harvard.
Dès 1884 Bussigny avait publié un manuel d'équitation à l'usage des cavalières. Le présent traité, publié après sa mort en 1922, est un peu le testament équestre d'un bauchériste qui n'a pas complètement accepté la « deuxième manière » du Maître. Son auteur préconise une équitation savante toute de patience, de gen tillesse, de modération, dont le principe est la force de l'effet et le refus de l'effet de la force. Au terme de «dressage» il préfère celui d'«éducation», recommandant d'enseigner avec bienveillance. Pour lui, les airs de haute école sont une gymnastique propre à développer harmonieusement le cheval.
Nous proposons ici une première édition critique en français abondamment illustrée. Elle est précédée d'une ample introduction de Frédéric Magnin sur l'influence bauchériste aux États-Unis à la charnière des XIXe et XXe siècles présentant, outre la biographie de Henry de Bussigny, celles d'autres écuyers de cette « French connexion » qui ont précédé là Jean-Claude Racinet : Joseph Merklen, Léon de Gisbert, Joseph Baretto de Souza...
Le lieutenant de Bussigny est de toutes les campagnes mais il part pour les États-Unis après la guerre de 1870. À New York, il fonde la «Central Park Riding School». Il s'installera en 1878 à Boston où, sa réputation l'ayant précédé, les familles les plus en vue de la ville lui fourniront plusieurs générations d'élèves jusqu'en 1918. Au nombre des élèves les plus prestigieux il faut compter Theodore Roosevelt lorsqu'il étudiait à Harvard.
Dès 1884 Bussigny avait publié un manuel d'équitation à l'usage des cavalières. Le présent traité, publié après sa mort en 1922, est un peu le testament équestre d'un bauchériste qui n'a pas complètement accepté la « deuxième manière » du Maître. Son auteur préconise une équitation savante toute de patience, de gen tillesse, de modération, dont le principe est la force de l'effet et le refus de l'effet de la force. Au terme de «dressage» il préfère celui d'«éducation», recommandant d'enseigner avec bienveillance. Pour lui, les airs de haute école sont une gymnastique propre à développer harmonieusement le cheval.
Nous proposons ici une première édition critique en français abondamment illustrée. Elle est précédée d'une ample introduction de Frédéric Magnin sur l'influence bauchériste aux États-Unis à la charnière des XIXe et XXe siècles présentant, outre la biographie de Henry de Bussigny, celles d'autres écuyers de cette « French connexion » qui ont précédé là Jean-Claude Racinet : Joseph Merklen, Léon de Gisbert, Joseph Baretto de Souza...
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