- EAN13
- 9782226136763
- ISBN
- 978-2-226-13676-3
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 05/02/2003
- Collection
- A.M. HORS COLL
- Nombre de pages
- 375
- Dimensions
- 22,5 x 15 x 3,4 cm
- Poids
- 531 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 571.8
- Fiches UNIMARC
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L'homme végétal / pour une autonomie du vivant
Pour une autonomie du vivant
De Gérard Nissim Amzallag
Albin Michel
A.M. Hors Coll
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20.30
Autre version disponible
« Gérard Amzallag est un scientifique rare : il pense par lui-même !
Cette ambition ne lui a pas valu que des amis mais nous permet de découvrir, grâce à lui, une approche originale du vivant.
La plupart des scientifiques voient le vivant comme une machine, donc dépourvu d'autonomie et pouvant être utilisé. Seul le hasard serait en cause. Cette approche justifie l'exploitation à outrance de la vie et du vivant.
Gérard Amzallag refuse cette facilité. Il démonte l'idée de machine, pas la machine. Pour lui, il n'existe pas de hasard mais une auto-organisation. Chez les termites, on observe cette concertation permanente : pas d'ingénieur derrière la termitière, pas de hasard salvateur.
L'adaptation passe par le cerveau. Comme une plante, cet organe en effet est toujours en train dese détruire et de se reconstituer. Nous voilà aux antipodes des comparaisons classiques de l'homme avec les autres mammifères. Et c'est là sans doute que L'homme végétal ouvre les perspectives les plus fascinantes. »
Bernard Werber
Cette ambition ne lui a pas valu que des amis mais nous permet de découvrir, grâce à lui, une approche originale du vivant.
La plupart des scientifiques voient le vivant comme une machine, donc dépourvu d'autonomie et pouvant être utilisé. Seul le hasard serait en cause. Cette approche justifie l'exploitation à outrance de la vie et du vivant.
Gérard Amzallag refuse cette facilité. Il démonte l'idée de machine, pas la machine. Pour lui, il n'existe pas de hasard mais une auto-organisation. Chez les termites, on observe cette concertation permanente : pas d'ingénieur derrière la termitière, pas de hasard salvateur.
L'adaptation passe par le cerveau. Comme une plante, cet organe en effet est toujours en train dese détruire et de se reconstituer. Nous voilà aux antipodes des comparaisons classiques de l'homme avec les autres mammifères. Et c'est là sans doute que L'homme végétal ouvre les perspectives les plus fascinantes. »
Bernard Werber
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